Rédigé à 10:43 dans Actualités SOWINE, Advertising, Architecture, Art, Bière, Branding, Cavistes, Champagne, Cible "jeunes", Cognac, Design, Gourmandises, Innovation, Insolites, Inspirations, Lancement produits, Marketing, Mixologie, Moustache, Oenotourisme, Packaging, Rhum, Spiritueux, Tendances, Vin, Vodka, Voyages, Whisky | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rares sont les soirées qui vous transportent dans une atmosphère particulière avec autant de véracité.
Pour la 4ème année consécutive, à l’occasion de la Saint-Hubert, le ABERLOUR HUNTING CLUB, restaurant éphémère, ouvre ses portes pour trois soirées exceptionnelles, les 5, 6 et 7 novembre prochain, dans un lieu unique et féérique.
Au cœur des Buttes Chaumont à Paris, le Pavillon du Lac se transforme, le temps de trois soirées, en cabinet de curiosités recelant d’objets d’arts cynégétiques. Niché dans le parc encore feuillu des Buttes Chaumont, le Pavillon du Lac devient pavillon de chasse aux couleurs de l’Ecosse accueillant les amateurs dans un cadre intime pour une dégustation en accord avec la haute gastronomie du gibier ses Single Malts d’exception.
L’environnement est plus vrai que nature, et l’atmosphère est véritablement celle d’un salon chaleureux où l’on aimerait volontiers allumer un feu en ces soirs frileux. Dans cette ambiance naturellement amicale, les artisans d’arts de la chasse à l’origine des objets rares du coffret ABERLOUR Signature présentent leur talent et leurs œuvres aux convives ravis…
La dégustation des trois Single Malts 18 d’âge du coffret annuel se fait également en prologue du dîner. Cette année, c’est la Double Maturation en fûts de Sherry et de Bourbon que la distillerie met à l’honneur au travers de son coffret en édition limitée de 15 pièces seulement : ABERLOUR Signature.
Invitation à la rencontre de curiosités de l’univers de la chasse et de savoir-faire rares et uniques, cette édition est avant tout un rendez-vous avec la passion d’artisans d’excellence.
Du travail minutieux et rigoureux du Master Distiller ABERLOUR s’exprimant dans les trois Single Malts du coffret dégustés en introduction au dîner, en passant par la patience et la précision des artisans d’arts créateurs des objets inédits du coffret ABERLOUR Signature, jusqu’à la haute maîtrise de la gastronomie d’Eric Pras chef triplement étoilé orchestrant ces trois dîners hors du commun, le ABERLOUR HUNTING CLUB célèbre cette année le savoir-faire artisanal forgé par le temps et l’expérience.
Sans aucun doute, ABERLOUR signe là l'une des plus belles éditions de son restaurant éphémère.
Aberlour Hunting Club restaurant éphémère, les 5, 6 et 7 novembre 2013 au Pavillon du Lac, Buttes Chaumont à Paris. 150 euros la place, réservations sur www.aberlour.com
Rédigé à 09:39 dans Actualités SOWINE, Design, Gourmandises, Inspirations, Lancement produits, Luxe, Marketing, Packaging, Patrimonial, Spiritueux, Whisky | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Très bonne nouvelle : les réservations pour le restaurant éphémère Aberlour Hunting Club sont ouvertes !
Devenu un rendez-vous incontournable pour les amateurs de gibier et de single malts, organisé chaque année à l'occasion de la Saint-Hubert, saint patron des chasseurs, l'édition 2012 du restaurant éphémère Aberlour Hunting Club est placée cette année sous le signe de la transmission des savoirs : ce sont les chefs étoilés André et Arnaud Daguin qui, les 7, 8 et 9 novembre prochains, réaliseront un menu à quatre mains créé pour l'occasion.
Passionné de chasse et de Single Malts, André a transmis ce legs à son fils Arnaud. Le menu qu’ils ont imaginé ensemble pour Aberlour Hunting Club se présente comme un véritable rite d’initiation. Pour chaque mets qui s’accorde avec les Single Malts Aberlour, ils livrent deux interprétations : alors que le père travaille les gibiers nobles avec toute la saveur de la tradition, le fils réinterprète ce qui lui a été transmis et en livre une version plus contemporaine.
Véritable expérience initiatique du goût et de la dégustation, le Aberlour Hunting Club prend cette année ses quartiers sur l'île Seguin à Paris. Pour trois soirées exceptionnelles, les convives sont invités à découvrir, le temps d’un dîner, l’atmosphère d’un luxueux cabanon de chasse écossaise posé sur la Seine : une réinterprétation contemporaine et spectaculaire du pavillon de chasse écossais. Imaginé par le jeune tandem de 1024 Architecture, Pierre Schneider et François Wunschel, exemple saisissant d’architecture éphémère posé au milieu d’un jardin naturel, le loft sur pilotis au sein duquel prend place le Aberlour Hunting Club édition 2012 est radicalement transformé pour l’occasion : le lieu adopte pour quelques jours seulement les couleurs de l’Écosse et les codes luxueux du pavillon de chasse.
C'est aussi à l’occasion du Aberlour HUnting Club que sera révélé en avant-première le prestigieux coffret A’BUNADH INITIATION par Aberlour : quatre précieux flacons de la cuvée A’Bunadh («de l’origine» en langue gaélique) présentés à différents stades de sa maturation, afin de saisir ce qui fait la singularité de ce Single Malt vieilli exclusivement en fûts de Xeres. Une cuvée brut de fût, élaborée dans le respect des traditions et des savoir-faire artisanaux d'autrefois.
ABERLOUR HUNTING CLUB – RESTAURANT ÉPHÉMÈRE - LES 7, 8 ET 9 NOVEMBRE 2012 AU JARDIN DE L'ÎLE SEGUIN (BOULOGNE-BILLANCOURT) - DÎNER NOMINATIF SUR RÉSERVATION UNIQUEMENT, 150 € PAR PERSONNE, LIMITÉ À 30 CONVIVES PAR SOIR. RÉSERVATIONS EN LIGNE OU PAR TELEPHONE AU 06 33 02 43 62.Rédigé à 12:26 dans Actualités SOWINE, Gourmandises, Patrimonial, Spiritueux, Tendances, Whisky | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Il ne vous reste plus que quelques jours pour courir voir l’exposition Quand les molécules se cuisinent…, présentée jusqu’au 10 juin 2012 au Palais de la découverte. Une belle occasion d’explorer les liens entre gastronomie, science, art… et cocktails !
Qu’est-ce exactement que la cuisine moléculaire, dont on entend beaucoup parler ? « Elle consiste à explorer la cuisine d’un point de vue chimique et scientifique afin de mieux la maîtriser et de créer des saveurs et textures inédites ». Selon son chef de file français Thierry Marx, « elle doit devenir la source d’un univers fantasmé ». C’est ce que Ferran Adrià, Chef du restaurant El Bulli, consacré 5 fois meilleur restaurant du monde avant sa fermeture, appelait la « cuisine techno-émotionnelle » : la technique mise au service de l’émotion. Jusqu’à l’élever parfois au rang d’art : c’est ce que narre la photographe plasticienne Mathilde de l’Ecotais, commissaire de l’exposition, lorsqu’elle ose dématérialiser les aliments dans ses photographies, ou l’enseignant-chercheur en chimie Raphaël Haumont, fréquent collaborateur de Thierry Marx, quand il décortique les aliments cellule par cellule, des mois durant, afin de trouver la recette exceptionnelle.
Fréquemment attaqué sur le côté parfois trop chimique, très technique et peu conventionnel de sa cuisine, Thierry Marx répond qu’il n’y a pas de conflit entre tradition et innovation. Toute cuisine est pour lui moléculaire, puisqu’elle repose sur la chimie – et l’alchimie – des aliments. Du point de vue marketing, la cuisine moléculaire pose pourtant problème : comment donner envie de se rendre au restaurant pour consommer ces plats très techniques ? La cuisine ne peut se contenter d’être une science pour susciter l’intérêt du consommateur.
« Ce n’est pas parce qu’on a faim que l’on rentre dans un restaurant, mais parce qu’on est à la recherche d’une émotion », affirme Thierry Marx. Le même constat peut être fait pour les bars et caves à vin : nous ne pouvons être réceptifs à ces nouvelles sensations que dans un cadre propice, qui permet d’établir une relation affective avec le produit grâce à l’histoire qui est racontée.
C’est ce que démontrent les bars à cocktails qui occupent aujourd’hui le devant de la scène parisienne. Le cadre y est aussi important que le contenu des verres : atmosphère intimiste au minuscule bar L’entrée des artistes, ambiance clandestine à l’Experimental Cocktail Club –qui rappelle les speakeasies de l’ère de la Prohibition–, parfum de secret chez Candelaria, qui se dissimule derrière une taqueria mexicaine… Les bartenders aussi se mettent en scène, théâtralisant leur prestation : l’improbable Italien tatoué qui règne sur le bar de Grazie suffira à vous en convaincre.
D’ailleurs, les techniques moléculaires ont aussi de l’avenir dans le domaine des spiritueux : il est désormais possible d’exalter des arômes grâce au procédé de cryo-concentration (concentration par le froid), ou de créer des textures inédites : Raphaël Haumont imagine un Kir moléculaire qui associerait à un grand champagne des billes de cassis encapsulées dans des pellicules extra-fines.
A l’instar de ce qu’Auguste Escoffier prédisait dès 1907 pour la cuisine, on peut donc affirmer que la préparation des cocktails et spiritueux, « sans cesser d’être un art, deviendra scientifique » !
Quand les molécules se cuisinent : démonstration pour le grand public jusqu’au 10 juin 2012 au Palais de la Découverte, avenue Franklin Roosevelt Paris 8.
Marie C. et Hortense
Photos Mathilde de l'Ecotais, DR.
Rédigé à 09:21 dans Art, Gourmandises, Mixologie, Spiritueux | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Alors que la quatrième édition des Menus de Légende G.H.Mumm, lancée en avril dernier, devait durer un mois, l'opération a été prolongée jusqu'à la fin du mois de juin dans tous les restaurants participants. Une belle preuve du succès de ce rendez-vous très particulier, devenu en quatre ans un rendez-vous incontournable pour tous les amateurs de gastronomie... et de champagne !
Depuis 4 ans en effet, sur une idée signée SOWINE, la Maison G.H.Mumm fait revivre des menus historiques retrouvés dans ses archives et propose à des Chefs étoilés de les réinterpréter à leur manière. Après la première édition lancée en 2009, ont suivi en 2010 les Menus de Légende à l'Elysée, puis en 2011 la réinterprétation des menus créés par de grands Chefs historiques.
Cette année, les Menus de Légende proposent de revivre des menus servis lors de grands voyages, sur des transports de légende : Orient-Express, Concorde et paquebots France et Normandie. Une façon très pertinente pour la Maison de toucher directement ses consommateurs en valorisant son patrimoine historique, et une jolie invitation au voyage gustatif et culinaire, en parfaite conhérence avec l'ADN de la marque !
Rendez-vous chez Thierry Drapeau -Le restaurant de Thierry Drapeau à Saint-Sulpice-le-Verdon, Pierre Gagnaire -Les Airelles à Courchevel, Stéphane Gaborieau -La Pergolèse à Paris, Jean-Marie Gautier -L’Hôtel du Palais à Biarritz, Jean-Yves Gueho -L’Atlantide à Nantes, Christian Le Squer -Ledoyen à Paris, Pascal Nibaudeau Le Pressoir d’Argent à Bordeaux, Christian Peyre -La Maison, domaine de Bournissac à Paluds de Noves, Christian Têtedoie -Têtedoie à Lyon et Sylvestre Wahid -L’Oustau de Baumanière aux Baux de Provence.
Rédigé à 09:24 dans Actualités SOWINE, Champagne, Gourmandises, Luxe, Patrimonial | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Janvier a filé, février est entammé, et si vous avez peur de vous ennuyer, voici quelques conseils pour que ce mois soit l'un de plus réussis de l'année !
De la lecture : chez SOWINE, on a complètement craqué sur l'ouvrage "Petits Moments d'Ivresse" de Gustave Kervern & Stéphanie Pillonca. Une idée extra, celle de recueillir les souvenirs de moments d'ivresse des plus grandes stars. Et un résultat à la hauteur : à chaque page ses moments de sincérité et d'émotion mais surtout d'humour, avec quelques perles qui nous donnent le sourire chaque matin. Rien à voir avec le politiquement correct, mais qu'est-ce que ça fait du bien ! Extraits : "Tu leur poses deux trois questions, c'est comme si tu interviewais un lave-vaisselle" ; "Les alcooliques au champagne, c'est quand même assez rare !" ; "on a récupéré votre mari, il était en train de taper des drives sur l'échangeur de l'A6, faudrait venir le récupérer". A se procurer au plus vite !
De l'agriculture : avec le Salon de l'Agriculture qui ouvre ses portes au Parc des Expositions de Paris Porte de Versailles le 25 février prochain. Avec un parcours "Bar & Cave à Vin, à la découverte des terroirs viticoles et des spécialités régionales". L'occasion annuelle de replonger vers nos racines, en plein Paris.
Et de la viticulture avec l'incontournable salon Vinisud, réservé aux professionnels du vin, qui ouvre ses portes à Montpellier le 20 février prochain. Un salon convivial et dynamique comme on les aime. Cette année, SOWINE y anime le Pavillon 2.0, un espace dédié au web et au vin en plein coeur du Parc des Expositions. L'occasion unique de rencontrer tous ceux que le sujet intéresse de près ou de loin, d'échanger autour des ateliers, et de passer un bon moment en compagnie de professionnels du vin et de blogueurs venus du monde entier pour l'occasion. Et de découvrir en avant-première les résultats du baromètre SOWINE/SSI 2012, la première étude sur l'influence des nouvelles technologies sur le comportement des consommateurs de vin en France, qui seront présentés lors de la conférence "Mobilité, réseaux sociaux et géolocalisation. Comment satisfaire aux nouveaux usages d’Internet ? Conquérir des clients mobiles en France et à l'international ?" que nous animons avec Philippe Hugon le lundi 20 février à 15h.
Cheers !
Rédigé à 13:55 dans Actualités SOWINE, Gourmandises, Inspirations, Livres, Vin, Vin 2.0 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Pour bien commencer la journée, après un week-end très chargé, entre la Vente des Hospices de Beaune en Bourgogne, le Salon Slow Food Euro Gusto en Touraine, le Salon du Blog Culinaire à Soissons et avant une semaine qui s'annonce très Moustaches, voici une petite pause bucolique : photo prise au début du mois par notre correspondante dans la Napa Valley en Californie. Ce qui est bien aussi dans le vin, c'est qu'on peut profiter chaque jour des voyages qu'il nous offre...
Rédigé à 09:21 dans Actualités SOWINE, Champagne, Gourmandises, Inspirations, Moustache, Vin, Voyages | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Novembre est à peine commencé que déjà l'agenda se remplit à grands pas. Comme chaque mois, je vous propose une petite sélection des événements à noter dans vos tablettes...
Pour commencer, le Aberlour Hunting Club, restaurant éphémère qui ouvre ses portes ce soir au sein du sublime restaurant Gordon Ramsay du Trianon Palace de Versailles. Pour tous les amateurs de whiskies et de gastronomie du gibier, et pour trois soirs seulement, le Chef étoilé Simone Zanoni a concocté un dîner d'exception, dont chaque plat sera associé à la dégustation des Single Malts les plus rares parmi la collection Aberlour. A lire le menu, j'en ai les arômes de whisky à la bouche ! Les dîners de jeudi 3 et vendredi 4 novembre sont complets, mais je crois savoir qu'il reste quelques places pour samedi 5 novembre... réservations en ligne sur www.aberlour.com.
Le Salon de La Revue du Vin de France à Bruxelles, qui se tient samedi 5 et dimanche 6 novembre à l'Autoworld Brussels. Pour cette seconde édition belge du salon, La Revue du vin de France prolonge sa vocation : permettre aux amateurs éclairés d'accéder aux grands vins et de découvrir les vignerons de demain.
Le Festival international de la photographie culinaire qui se tient à Paris jusqu'au 13 novembre, avec pour parrain Thierry Marx. J'aime le thème de cette troisième édition : la Street Food. Un univers qui ne rime pas forcément avec "Gastronomie", et pourtant... Un univers haut en couleurs à découvrir au travers des expositions de photographies proposées dans des galeries d’art, boutiques, épiceries fines, restaurants et hôtels parisiens.
Le beaujolais nouveau, jeudi 17 novembre. Rendez-vous incontournable et prétexte pour fêter le beaujolais entre amis, l'événement -mondial- doit surtout être l'occasion de redécouvrir qu'il n'y a pas UN beaujolais mais DES beaujolais, élaborés par des vignerons tout autant passionnés que dans les autres régions de France, et qui se dégustent toute l'année. Définitivement, non, le beaujolais nouveau n'a pas nécessairement un goût de banane...
La 151ème vente aux enchères des vins des Hospices de Beaune, qui se déroulera le dimanche 20 novembre 2011 et sera présidée cette année par Inès de la Fressange. L'une des plus célèbres ventes de charité au monde, qui fait vibrer tous les amateurs de vin... et les autres. Une manifestation qui fait à mes yeux parties des événements auxquels participer au moins dans sa vie. A noter, en marge de la vente "physique", la possibilité d'acheter "en primeur" -c'est ici- quelques flacons, une excellente initiative proposée par la Maison Albert Bichot, organisée pour la troisième année consécutive.
Le Salon des Vins des Vignerons Indépendants, LE rendez-vous automnal annuel du vin à Paris Porte de Versailles, qui ouvre ses portes au grand public du 24 au 28 novembre.
Et jusqu'au 30 novembre, le concours international organisé par la bière de spécialité belge Duvel. Ouvert à tous, il invite chacun à créer son propre verre pour la Duvel Collection sur le site www.duvelcollection.com. Une occasion ludique de devenir, peut-être, le prochain artiste édité au sein de la Duvel Collection, dont les verres deviennent à chaque édition de véritables objets collector.
Joyeux mois de novembre à tous, en espérant avoir le plaisir de vous croiser sur l'un autre l'autre de ces événements !
Rédigé à 19:12 dans Actualités SOWINE, Art, Gourmandises, Vin | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Envie d'un dîner unique dans un cadre non moins exceptionnel ? Depuis ce matin, vous pouvez réserver votre table pour la seconde édition du Aberlour Hunting Club !
Le restaurant éphémère ABERLOUR HUNTING CLUB, c'est l'événement gastronomique de l'automne. Du 3 au 5 novembre 2011, à l’occasion de la Saint-Hubert, le ABERLOUR HUNTING CLUB ouvre à nouveau ses portes au grand public -lire mon billet concernant l'édition de l'an dernier- pour trois soirées uniques dédiées à la Chasse Royale.
Cette année, le ABERLOUR HUNTING CLUB installe ses quartiers chez Gordon Ramsay au Trianon Palace à Versailles, restaurant deux étoiles au Guide Michelin, privatisé pour l’occasion. Situé en bordure des prestigieux jardins du Domaine Royal de Versailles, le restaurant éphémère offre le cadre propice à la dégustation d’une gastronomie alliant prestige et tradition, sur le thème de la chasse.
VARIATIONS SUR LA GASTRONOMIE DU GIBIER
Lors de ces trois soirées uniques, ABERLOUR invitera les amateurs de fine gastronomie et de Single Malts d’exception à découvrir un menu spécialement créé par le célèbre Chef étoilé Simone Zanoni, disciple du Chef écossais Gordon Ramsay. Lors d’un moment exclusif de dégustation, les convives découvriront l’association subtile des saveurs écossaises de la gastronomie de gibier et de Single Malts : chevreuil mariné aux baies de genièvre, homard écossais mariné et cuit au « 15 ans d’âge », légumes croquants d’antan et crème de haddock fumé, grouses rôties à la noisette torréfiée, fricassée d’artichauts et cèpes…
L’ART DE LA DÉGUSTATION
Alors que l'édition 2010 proposait la dégustation exceptionnelle du millésime 1967, le plus ancien fût de la distillerie, cette nouvelle édition révélera en avant-première le prestigieux coffret EXCLUSIVE ARCHIVE COLLECTION : quatre précieux flacons de Millésimes d’exception 1967 – 1969 – 1980 – A’Bunadh, présentés dans une malle écrin, signée des ateliers T.T TRUNKS.
Coffret EXCLUSIVE ARCHIVE COLLECTION, l’Art de la Dégustation par ABERLOUR édité en série limitée, numérotée, disponible à la vente, chez Lavinia, Fauchon et La Maison du Whisky à partir du mois d'octobre.
ABERLOUR HUNTING CLUB, les jeudi 3, vendredi 4 et samedi 5 novembre 2011 au Trianon Palace Versailles, A Waldorf Astoria Hotel. Dîner sur réservation uniquement, 190 € par personne, limité à 40 convives par soir, réservations en ligne sur www.aberlour.com
Rédigé à 09:45 dans Actualités SOWINE, Gourmandises, Inspirations, Lancement produits, Luxe, Spiritueux, Whisky | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Alors que septembre est traditionnellement un mois très chargé, octobre permet de prendre davantage le temps pour profiter. Parmi les événements que je recommande en France et ailleurs ce mois-ci, voici...
Les Journées Particulière LVMH, les 15 et 16 octobre 2011, en France et en Europe : sorte de "Journées du Patrimoine" propres à LVMH, les "Journées particulières" sont une invitation à découvrir le très riche patrimoine des marques du groupe LVMH, qu'il concerne des marques faisant partie ou non de la branche Vins et Spiritueux. Ateliers, chais, caves, maisons de famille, studios de création, showrooms... Au cours des Journées Particulières, LVMH ouvre les portes de plus de 25 sites d’exception en France et en Europe pour y révéler leurs savoir-faire uniques. Côté Vins & Spiritueux, je recommande vivement la visite de l'un ou plusieurs des sites participants :
J'aime quand de belles Maisons cherchent à promouvoir le patrimoine de leurs marques et à créer un lien particulier avec leur public de consommateurs et mettent pour cela en place de belles opérations, tout comme l'avait fait Hermès en juin et juillet dernier avec son "Festival des Métiers".
L'édition 2011 de la European Wine Bloggers Conference, rencontre des blogueurs du vin qui se tiendra cette année du 14 au 16 octobre à Franciacorta en Italie : une année, un pays, des rencontres ou comment échanger sur la convergence du web et du vin dans un contexte international.
La Semaine du Goût, du 17 au 23 octobre : l'occasion de repenser son rapport au goût au travers de manifestations diverses et variées organisées partout en France. J'aime les valeurs que cette semaine particulière cherche à transmettre, et la façon dont chacun peut se les approprier pour les appliquer toute l'année : ou comment encourager...
Le Luxe Pack Monaco 2011, qui se tiendra les 19, 20 et 21 octobre au Grimaldi Forum : le salon de référence en termes de packaging créatif, au cours duquel nous animerons la conférence "Champagnes et Spiritueux haut de gamme : la révolution du design packaging" -lire la note sur le sujet ici.
Et enfin, la deuxième édition du Vinocamp Paris, le samedi 22 octobre à la Bellevilloise : l'occasion d'échanger avec les acteurs du vin et du web qui se retrouvent régulièrement depuis la première édition -lire ici- pour échanger et partager leurs expériences sur le sujet.
Comme à chaque fois, nous aurons grand plaisir à vous croiser sur l'un ou l'autre de ces événements !
Rédigé à 12:59 dans Actualités SOWINE, Champagne, Cognac, Gourmandises, Inspirations, Luxe, Marketing, Packaging, Patrimonial, Spiritueux, Tendances, Whisky | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Vous vous souvenez sans doute de Pommillon, le premier jus de pommes bio pétillant sans alcool haut de gamme lancé il y a deux ans par Benoît Simottel, fondateur de la Maison Le Paulmier. Récompensé par un Coq d'Or du Guide des Gourmands, -LA référence des guides pour les gourmands, dont l'édition 2012 vient de paraître-, Pommillon était le premier né de sa collection de jus haut de gamme, suivi bientôt par Pépinelle, sa déclinaison en version rosé, aux infusions de fleurs.
De cette jolie histoire naît aujourd'hui Pépin le Brut, une boisson pétillante artisanale sans sucre ajouté, fruitée et acidulée, assemblage des baies, des fruits et des épices du monde : elle réunit canneberge, gingembre et pommes de France pour un cocktail coloré de saveurs fraîches et citronnées.
Avec l'arrivée de Pépin le Brut, la Maison le Paulmier complète idéalement sa Family Collection, autant de produits innovants, naturels et savoureux créés pour toute la famille. Tous travaillés avec le fruit des vergers, ils sont élaborés uniquement selon des méthodes traditionnelles.
Au-delà des produits, qui sont excellents, et de la pertinence de la gamme -deux autres collections complètent la Family Collection : la Collection du Bocage, qui regroupe son cidre et son poiré du bocage, et la Collection Gourmande, qui rassemble ses vinaigres et autres délicieux condiments-, ce que j'aime chez Le Paulmier, c'est la poésie qui entoure chacun de ses produits.
Véritable artisan du verger et du bocage, entièrement dédié à la sauvegarde de la biodiversité de sa Normandie d'origine, Benoît Simottel met toute son énergie non seulement dans l'élaboration de ses excellents produits mais aussi dans les jolies histoires qui les ont fait naître, pour le plus grand plaisir des petits et des grands. A (re)découvrir de toute urgence dans les meilleures épiceries fines en France, en Suisse et au Japon.
Rendez-vous avec PÉPIN le Brut :
La Grande Epicerie de Paris - 38 rue de Sèvres - Paris 7
Dmets Dvins - 15 rue d'Auteuil – Paris 16
L’épicerie - 23 rue des Saints Pères - Paris 6
Épicerie Rive Gauche - 8 rue du Champs de Mars - Paris 7
Liste complète des points de vente sur www.le-paulmier.com
Toutes les actualités Le Paulmier et autres idées de cocktails à suivre sur la page Facebook www.facebook.com/lepaulmier
Rédigé à 11:06 dans Actualités SOWINE, Gourmandises, Innovation, Patrimonial | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Alors que les vendanges sont déjà terminées dans certaines régions, la rentrée est comme toujours bien chargée, avec de quoi ravir les amoureux de vins et de spiritueux ! Voici une petite sélection des événements à ne pas manquer en septembre :
Les Foires aux Vins.Le bon moment pour faire de bonnes affaires, avec des sélections variées et de belle qualité. Je recommande particulièrement celle de Monoprix, qui propose à partir d'aujourd'hui et jusqu'au 18 septembre une sélection de vins en mode "deux bouteilles achetées, une bouteille offerte". De quoi se faire plaisir, et c'est valable dans toute la France !
Le Whisky Live. L'événement annuel consacré au whisky et autres "fine spirits" se tient cette année les 24 et 25 septembre à l'hôtel Salomon de Rothschild à Paris. A ne pas manquer si vous aimez les spiritueux fins et si vous avez envie de découvrir des produits du monde entier dans une ambiance particulièrement agréable.
Les Apéros Vintage qui reprennent à Paris : l'occasion de découvrir la richesse et la diversité des vins de Bordeaux en mode afterwork. Premier rendez-vous le mardi 13 septembre au Petit Bain, le nouveau pôle d'expression artistique du 13e arrondissment, et le suivant le 27 septembre au Pavillon du Lac dans le parc des Buttes Chaumont (19e).
Pour les gourmands et en attendant la Semaine du Goût qui aura lieu du 17 au 23 octobre dans toute la France, je recommande fortement l'opération Tous au Restaurant qui se tient du 19 au 25 septembre. Une semaine pour découvrir les belles tables de France, avec des offres alléchantes ("votre invité est notre invité"), proposées y compris par des restaurants étoilés. Le credo : "faire redécouvrir la cuisine française telle qu'elle est aujourd'hui, vivante, créative, multiple et contemporaine"". Réservations ouvertes depuis aujourd'hui...
Pour célébrer l'art de vivre de manière un peu plus large, la première édition de Paris Design Week aura lieu du 12 au 18 septembre, célébrant le bouillonnement de 100 lieux de design et d'art de vivre à Paris.
Enfin, après le Cabernet Day qui avait lieu jeudi dernier, rendez-vous le 24 septembre pour le Grenache Day. Le principe des Cépage Days est simple : où que vous soyez dans le monde, célébrez le cépage en question et partagez vos impressions sur les réseaux sociaux. Une excellente initiative venue du blogueur américain Rick Bakas, largement relayée sur Twitter et Facebook, qui permet à des amateurs du monde entier de partager un moment de dégustation en mode participatif.
Bonne rentrée à tous, en espérant que nous aurons le plaisir de vous croiser sur certains de ces événements !
Rédigé à 11:51 dans Actualités SOWINE, Art, Cavistes, Champagne, Cible "jeunes", Design, Gourmandises, Rhum, Spiritueux, Tendances, Vin, Vin 2.0, Vodka, Whisky | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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C'est aujourd'hui que débute l'événement HAUTE CUISINE PARIS®, "théâtre évènementiel de curiosités culinaires", qui se tient jusqu'à dimanche dans les Jardins du Palais Royal.
Voilà une initiative intéressante : l'événement, parrainé par le Chef du Grand Véfour Guy Martin, se veut "voyage gastronomique international" et a l'ambition de rassembler tous ceux pour qui la cuisine est un plaisir, une fête, en les invitant à découvrir chaque prisme et spécificité de ce savoir-faire, et ce, concomitamment aux collections Haute Couture.
Création et design culinaire, arts de la table, édition, dégustations, conférences : avec des noms comme "food Victim", "la boîte noire du luxe français", "cuisine cousu-main" ou "la mariée dans tous ses éclats", le programme des festivités est plus qu'alléchant, à la rencontre de deux savoirs faire, celui de la Haute Cuisine et de la Haute Couture.
L'événement, qui rassemble les acteurs de la gastronomie française et internationale -notre "Artisan de la Pomme" préféré, Benoît Simottel, y présente ses délicieux cidres, jus, condiments et autres gourmandises Le Paulmier, lire aussi ici, ici et ici- est ouvert jeudi et vendredi aux professionnels au grand public durant tout le week-end.
Rendez-vous donc à partir d'aujourd'hui dans les Jardins du Palais Royal : je suis pour ma part toujours enthousiaste sur ce type de manifestation qui porte un regard différent sur un sujet pourtant vu et revu, et qui propose une vision créative et internationale sur tout ce qui a trait au patrimoine gastronomique dans son ensemble -lire aussi ma note à ce sujet ici.
Rédigé à 11:30 dans Actualités SOWINE, Gourmandises, Inspirations, Patrimonial, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Dans le monde du champagne, il est des cuvées très spéciales qui méritent un traitement particulier. Bollinger R.D. est de celles-ci.
Petit retour en arrière : c'est au début des années 1950 qu'Elisabeth Bollinger a l'idée de proposer des cuvées millésimées dégorgées tout récemment. Le vin mûrit alors et s'épanouit pleinement sur lies tout en préservant une fraîcheur extraordinaire : le Bollinger R.D. est né ! Récemment Dégorgé devient ainsi une exclusivité déposée par Champagne Bollinger.
Le 8 juillet prochain, la Maison Bollinger célèbrera le demi-siècle de cette cuvée icône et organisera à Paris une dégustation unique dans un lieu encore tenu secret. A cette occasion, un petit nombre de convives sera réuni pour partager cette expérience exceptionnelle. Et pour la toute première fois, la Maison Bollinger ouvrira les portes de son univers à cinq amateurs, conviés à participer à cet événement à l’issue d’un concours international : « LIFE CAN BE PERFECT ».
C’est par l’entremise de petites annonces publiées à partir d'aujourd'hui dans 10 quotidiens internationaux que les amateurs du monde entier pourront prendre connaissance de ce concours international. Caché dans la petite annonce, un QR code aux couleurs de la marque redirigera les participants sur le site Internet dédié à l’événement, où ils seront invités, jusqu’au 21 juin 2011, à décrire un moment d’exception : leur moment « LIFE CAN BE PERFECT».
Toutes les créations seront ensuite soumises à l’approbation du Jury Bollinger qui dévoilera, le 27 juin 2011, le nom des 5 heureux élus. Ceux-ci seront reçus par la Maison Bollinger à Paris le 8 juillet prochain, pour y vivre une journée unique autour de la célébration de la cuvée Bollinger R.D.
"Belle Maison de Champagne recherche 5 amateurs de flacons récemment dégorgés pour souligner le demi-siècle de sa cuvée icône à Paris, le 8 juillet 2011. Rendez-vous sur www.lifecanbeperfect.com"
A vos smartphones, prêts, participez !
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En voilà une bonne nouvelle : après ses jus de pommes bio pétillants haut de gamme Pommillon et Pépinelle -pour la version rosé-, la Maison LE PAULMIER vient de lancer deux nouveaux produits : le Cidre et le Poiré du Bocage.
Fidèle à l’esprit de Julien Le Paulmier, sieur de Grentemesnil en 1585 et fondateur de la pomologie, la Maison Le Paulmier travaille au renouveau du verger et à la préservation de son écosystème. A l’instar de ses contemporains, Julien Le Paulmier se plaisait à marier en secret la sauge ou l’absinthe pour créer ses cidres spéciaux. Avec son Cidre et son Poiré du Bocage, la Maison Le Paulmier invite à nouveau à la découverte de saveurs oubliées !
De la poire aux baies d’aubépine pour le Poiré du Bocage, de la pomme aux baies d’églantier pour le Cidre du Bocage : la Maison Le Paulmier revisite la tradition perdue des alliances entre le verger et la haie.
Perso, je trouve l'idée géniale : les produits sont excellents, ils participent d'une vraie volonté de mettre en valeur la qualité d'un terroir, sont élaborés de façon artisanale, et font rêver autour d'une histoire parfaitement racontée. Pour ceux qui ne l'auraient pas encore vu, je vous conseille d'ailleurs de jeter un oeil au site le-paulmier.com, qui vous plongera directement dans l'univers poétique et bucolique de la Maison. Et pour les fans, la page Facebook raconte les jolies histoires de la vie d'une Maison et de son artisan, au gré des saisons, des humeurs et loin desturpitudes de la vie citadine.
"Sirotés à l’ombre d’un pommier ou compagnons d’un repas entre amis, le Cidre et le Poiré du Bocage sont des apéritifs conviviaux, comme le pays qui les a vu naître. Sans sulfites ajoutés, les cidres et poirés bios Le Paulmier sont élaborés dans le respect du fruit et la sauvegarde de la biodiversité".
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Les inscriptions pour la troisième et dernière veillée Foodstock, organisée par l’équipe du Fooding dans le jardin du MACVAL, le Musée d’Art Contemporain du Val de Marne, se sont ouvertes ce matin, et je n'ai qu'un conseil : courez-y !
J’ai pu participer à la 2e veillée il y a quelques jours et vous recommande sans hésitation le déplacement, en particulier pour goûter aux créations d’inspiration irlandaises de Grégory Marchand, chef du restaurant Frenchie et au décadent dessert du chef pâtissier Camille Lesecq, du restaurant triplement étoilé de l’hôtel Meurice.
Les cocktails au whisky irlandais Jameson –avec un coup de coeur pour le mix fraise + gingembre– sont rafraichissants et originaux et l’animation musicale, assurée entre autres par un DJ de Radio Nova et des artistes invités -parmi lesquels Brigitte et Benjamin Biolay- ajoutent sans conteste à l’atmosphère décontractée et conviviale de l’événement.
Un événement fidèle au style Le Fooding, comme on les aime !
Philippe-Alexandre
Rédigé à 17:14 dans Cible "jeunes", Gourmandises, Mixologie | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Même si elle a encore beaucoup à envier à ses cousines new-yorkaise ou londonienne, il semblerait que la scène cocktailistique parisienne parvienne enfin à prendre son envol, elle qui propose de plus en plus de concepts et de lieux franchement intéressants où l’on peut boire autre chose qu’un énième mojito, cocktail dont je sens qu’il sera le prochain has been des bars branchés en ce début de saison estivale…
Quelque part entre roaring twenties et époque de la Prohibition, la mode du rétro et du vintage, apparue il y a quelques temps déjà, perdure et trouve certainement de quoi assurer son essor sur la planète cocktail. Petite revue des tendances à surveiller dans les mois à venir, toutes passablement inspirées d’un passé plus ou moins éloigné...
Créer du buzz et de la rareté autour d’un lieu qui n’a pas pignon sur rue
Il y a de ces bars géniaux dont on se demande toujours s’il ne vaudrait pas mieux en taire le nom et l’adresse, histoire de les garder pour soi et d’éviter qu’ils deviennent les prochains lieux branchouilles envahis par les bobos… La tendance aux bars cachés, voire clandestins, sortes de speakeasies des temps modernes, a déjà fait un carton chez les Anglo-Saxons, comme en témoignent certains établissements. Je pense ici notamment au PDT (Please Don’t Tell), bar new-yorkais auquel on ne peut accéder qu’en passant au travers d’une cabine téléphonique vintage située dans un restaurant de hot dogs !
À défaut de vous faire sentir comme Clark Kent se changeant en Superman, le Candeleria, petite taqueria de la rue de Saintonge dans le Marais, a le mérite de cacher derrière sa minuscule salle à manger l’un des bars à cocktails les plus hypes de Paris. Les mixologistes, anciens du Curio Parlor et de l’Experimental Cocktail Club, font la belle part au mezcal et autres téquilas et savent même accommoder les groupes avec des bols géants de punch, capables de régaler les papilles et de rafraichir toute une tablée.
Élaborer soi-même des ingrédients « faits maison » originaux
Lorsqu’on a l’esprit aventurier en matière de cocktail, on est rarement aussi bien servi que par soi-même… Les barmen experts l’ont bien compris et se sont mis à créer eux-mêmes, à partir de produits du commerce, des alcools originaux qui servent à singulariser leurs créations.
De la vodka infusée au bacon - à quand une version Frenchie infusée au foie gras ? - au cognac XO imprégné des arômes d’une truffe noire laissée à macérer entière dans la bouteille : ces produits définissent aujourd’hui les cocktails signatures de plusieurs établissements réputés.
Autres outils efficaces pour marquer le profil organoleptique d’un cocktail : les bitters maisons, parfumés, par exemple, à la lavande ou encore au pamplemousse rose. Quelques gouttes de ces amers aromatiques et on arrive à créer une différence remarquable et à faire d’un cocktail simple un véritable ambassadeur de son auteur ou de son lieu de création.
Rapprocher des univers connexes avec des mariages inusités
Les mélanges gastronomie / mixologie sont de plus en plus fréquents : du ketchup maison parfumé au Laphroaig du Prescription Cocktail Club au nouveau Cointreau Cuisine en spray utilisé par des chefs comme Williams Caussimon, les spiritueux occupent de plus en plus de place dans les assiettes. Plus que jamais, la frontière entre les deux univers est poreuse et plusieurs mariages révèlent l’intérêt de tenter des accords inusités. Oser le cocktail au Nutella ou la vinaigrette au Pastis, c’est l’occasion pour les marques ou les bars de marquer leur différence et de l’ancrer de manière durable dans l’esprit des consommateurs.
Inventer de nouveaux modes de préparation et rituels de consommation
Les cocktails vieillis en fût sont la nouvelle tendance à la mode chez les mixologistes américains… Pourquoi commander un simple Manhattan fait minute quand on peut boire un cocktail préparé il y a 6 semaines et vieilli en fût depuis ? Invoquant la recherche de cocktails plus harmonieux et de saveurs fondues et mieux intégrées, un petit nombre d’établissements ont su créer l’intérêt des consommateurs en leur proposant, pour quelques dollars de plus, de découvrir une version améliorée de leur cocktail favori.
Autre méthode efficace : les glaçons ou les verres simplement rincés avec un alcool de qualité afin de donner un petit supplément d’âme à un cocktail fatigué. La mise en avant de lieux inattendus, de nouveaux ingrédients originaux, de mariages entre univers connexes et de nouvelles techniques d’élaboration inusitées a certainement le mérite de donner de donner un nouveau twist à de vieux classiques.
Lesquelles de ces tendances sauront survivre et s’imposer au-delà de l’été ? Rendez-vous à la rentrée pour le savoir !
Philippe-Alexandre
THE BASIL BLITZ
4 cl rhum blanc
2 cl LEJAY cassis
2 cl sucre
6 feuilles de basilic
1/2 citron vert
3 mûres fraiches
FROM PARIS WITH LOVE
4 cl vodka
2 cl LEJAY cassis
3 cl jus de passion
2 cl sucre
3 mûres fraiches
1/2citron vert
LEJAY BLACK CALVADOS
4 cl Tequila Silver
2 cl LEJAY cassis
2 cl de miel
1/2 citron vert
Des fruits rouges
Cocktails créés par Yann - BLACK CALVADOS (BLITZ TEQUILA BAR)
Photos SOWINE - Tous Droits Réservés
Rédigé à 09:30 dans Actualités SOWINE, Cible "jeunes", Gourmandises, Mixologie, Spiritueux, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Bel événement cette semaine à La Maison du Whisky Fine Spirits -cette jolie boutique installée place de l'Odéon à Paris, qui propose des spiritueux rares et des événements originaux, et dont j'ai déjà parlé ici- : une soirée dégustation autour des Menus de Légende® G.H. Mumm -pour le détail de cette très belle opération, je vous invite à relire mes notes sur le sujet ici et ici.
Au-delà du plaisir de goûter aux mets revisités du Chef Historique Auguste Escoffier -son menu "tout en rouge" est particulièrement approprié-, j'ai eu grand plaisir à déguster les cuvées G.H. Mumm qui les accompagnaient, et particulièrement la nouvelle référence de la Maison : Blanc de Noirs Mumm de Verzenay.
Etant très grande amatrice de la cuvée Blanc de Blancs Mumm de Cramant, qui fait partie de mes incontournables depuis très longtemps, j'étais curieuse de découvrir son pendant 100% Pinot Noir, également monocru. Et j'ai été plus qu'enchantée à sa dégustation : un vin long et puissant avec de délicieuses notes de nougat et de miel... Une vraie gourmandise qui, au-delà de ses caractéristiques gustatives, m'a donné envie de revoir le Moulin de Verzenay.
Conclusion : je ne saurais trop vous conseiller de goûter la cuvée Blanc de Noirs Mumm de Verzenay, de rendre une petite visite à la boutique La Maison du Whisky Fine Spirits pour découvrir les trésors qui y sont proposés, et de profiter de l'opération Menus de Légende G.H. Mumm qui se tient jusqu'au 30 avril chez neuf grands Chefs contemporains.
NB : le Moulin de Verzenay ne se visite pas, mais pour autant, je vous recommande vivement de profiter des beaux jours qui s'installent pour (re)découvrir le vignoble champenois et faire un détour par le cru historique de Verzenay. Un magnifique point de vue pour admirer le vignoble depuis les hauteurs du versant nord de la Montagne de Reims.
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Pour la troisième année consécutive, la Maison G.H. Mumm propose aux amateurs de moments d'exception son programme gastronomique "Menus de Légende®".
Après une édition 2009 qui revisitait des menus historiques servis accompagnés de champagne G.H. Mumm et faisant la part belle à la cuvée de prestige R. Lalou -lire ma note "Menus de Légende par G.H. Mumm : retour aux sources, source d'inspiration"- et une édition 2010 qui réinterprétait des menus historiques servis à l'Elysée, la thématique choisie pour 2011 fait la part belle à la valorisation du patrimoine gastronomique français : cette année, la Maison G.H. Mumm invite 9 grands Chefs à rendre hommage aux Maîtres historiques de la Haute Cuisine française en revisitant 4 de leurs illustres menus.
Du 1er au 30 avril 2011, ces Chefs étoilés réinterpréteront une création de François Vatel, Antonin Carême, Auguste Escoffier ou Fernand Point autour de la Cuvée R. Lalou Millésime 1999.
Je trouve l'idée excellente : à la fois par l'hommage rendu à de grands Chefs historiques, dont le nom résonne dans l'imaginaire collectif mais que beaucoup connaissent mal ou peu. A la fois parce que du point de vue de la communication, cette nouvelle déclinaison des Menus de Légende® permet de renouveler intelligemment la prise de parole de la marque sur l'événement. Et enfin parce que selon moi, elle permet aux Menus de légende® par G.H. Mumm de devenir définitivement un rendez-vous incontournable pour tous les amateurs de moments gastronomiques d'exception.
Et puis, au-delà de ces considérations "communication", l'idée de rendre cette année hommage aux Maîtres historiques de la Haute Cuisine française me semble particulèrement pertinente parce qu'elle confirme la place de G.H. Mumm en tant que champagne de la gastronomie, et permet également à la Maison de s'inscrire beaucoup plus largement comme élément reconnu du patrimoine gastronomique et historique français.
Rendez-vous donc chez François Adamski, Paul Bocuse, Eric Guérin, Patrick Henriroux, Frédéric Robert, Michel Sarran, Laurent Saudeau, Jean-Pierre Vigato et Sylvestre Wahid pour un moment d'exception !
Rédigé à 11:41 dans Actualités SOWINE, Champagne, Gourmandises, Inspirations, Patrimonial | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Alors que se déroule à partir d'aujourd'hui et jusqu'au 6 mars au CentQuatre à Paris le Festival du Livre Culinaire, qui propose un certain nombre d'animations sur le sujet au grand public -exposition, conférences, démonstrations de cuisine-, je vous invite à (re)découvrir un petit livre particulièrement amusant : Les Miscellannées Culinaires de Mr. Schott.
Vous avez sans doute entendu parler des Miscellanées originales de Ben Schott publiées en 2005, je vous invite à en découvrir la version culinaire. Le livre date certes de 2007 mais on ne se lasse pas de l'avoir à ses côtés pour tout savoir d'anecdotes diverses et variées -et souvent drôles- sur le manger et le boire, depuis le noms des Saints-Patrons culinaires jusqu'au nom et à la contenance des verres à bière en passant par la cuisson du sucre et la découpe des légumes au Japon.
Une lecture à faire en complément de l'ouvrage A Wine Miscellany dont j'avais parlé ici. Les Miscellanées Culinaires de Mr. Schott vous permettra aussi d'apprendre 98 expressions d'argot de l'ivresse et de retenir définitivement la célèbre citation de Madame Bollinger à propos du champagne : "j'en bois lorsque je suis joyeuse, et lorsque je suis triste. Parfois j'en prends quand je suis seule. Quand j'ai de la compagnie, je le considère comme obligatoire. Je m'amuse avec quand je n'ai pas d'appétit, et j'en bois lorsque j'ai faim. Autrement, je n'en prends jamais - A moins que je n'aie soif".
Rédigé à 11:18 dans Gourmandises, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Rédigé à 18:00 dans Actualités SOWINE, Advertising, Art, Bière, Branding, Champagne, Cognac, Design, Gourmandises, Innovation, Inspirations, Luxe, Marketing, Rhum, Spiritueux, Tendances, Vin, Vodka, Voyages, Whisky | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Parmi les offres spéciales Noël proposées cette année par les maisons de spiritueux, celle de Rémy Martin pour son Coeur de Cognac a particulièrement retenu mon attention.
Coeur de Cognac, c'est la création gourmande de la Maison rémy Martin : un cognac qui se différencie par un procédé de distillation doux et lent permettant de recueillir et de conserver les arômes et l'onctuosité des fruits mûrs. Décrit comme "rond, velouté, fruité et facile à boire", c'est un produit plus simple d'accès qui cherche clairement à recruter de nouveaux consommateurs, visant en particulier une cible féminine.
Partant du constat que les arômes ronds et onctueux de Coeur de Cognac se marient à merveille avec les saveurs sucrées, la Maison Rémy Martin a choisi de capturer ces notes dans une épice sucrée baptisée Summer Snow. Cette fine texture poudrée, présentée dans des fioles, s'utilise comme un sucre à saupoudrer sur les desserts pour apprécier pleinement l'association de saveurs avec Coeur de Cognac.
Ce que je trouve particulièrement pertinent dans ce concept est qu'il positionne Coeur de Cognac dans un moment de dégustation précis -celui de la fin du repas- mais surtout qu'il permet au consommateur de vivre dans toute sa réalité l'expérience de l'association mets / cognac en l'invitant à devenir le metteur en scène de sa dégustation.
Le coffret comprend une bouteille de Coeur de Cognac, deux fioles et un livre de recettes originales élaborées par Philippe Saint Romas, le Chef de la Maison Rémy Martin. Le même qui élabore les bouchées proposées à la dégustation en accord avec les produits en conclusion de la visite la Maison Rémy Martin à Cognac, ce qui en fait à mes yeux l'une des visites les plus originales et les plus réussies de toutes celles qu'il m'ait été donné de suivre.
Rédigé à 10:46 dans Cognac, Gourmandises, Spiritueux | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Le concept de boutique éphémère, largement et depuis longtemps utilisé dans l'univers de la mode, gagne ses galons dans celui des alcools et en particulier de la bière.
Les brasseurs, toujours très actifs en termes de communication, se prennent au jeu de l'événementialisation de leur marque sur une courte durée et en un lieu unique : en témoignent les deux manifestations parisiennes organisées plus tôt cette année par les brasseurs Kronenbourg et Heineken -L'Atelier des Brasseurs et L'atelier des Champs- ou encore l’espace éphémère la Table du Pélican proposé ce mois-ci par la marque Pelforth (groupe Heineken).
Les avantages d’une boutique éphémère sont nombreux pour les marques : sans avoir à consacrer un budget démesuré à la location longue durée d’un bien immobilier -qui plus est, souvent difficile à trouver sur les artères huppées des capitales-, elles peuvent occuper, l’espace de quelques semaines, un emplacement choisi et plonger les consommateurs dans leur univers de marque tout en contrôlant parfaitement la communication sur leurs produits.
Autre avantage de la boutique éphémère : elle est pour la marque une occasion de prise de parole événementielle génératrice de retombées presse et permet de susciter un véritable intérêt auprès des consommateurs en créant du buzz.
L'univers de la mode et du luxe en particulier s'appuie depuis longtemps sur ce concept : la marque Comme des Garçons en est le meilleur exemple, avec ses "Guerilla store" qui fleurissent autour du monde depuis plusieurs années. D'autres marques s'appuient sur ce concept, que ce soit à l'occasion des collections -Thierry Mugler à Paris ou Azzaro à Londres- ou d'un anniversaire -Cacharel à Paris à l'occasion des 50 ans de la marque, ou plus récemment, Danone avec sa boutique Chez Danette installée pendant une dizaine de jours à Paris pour les 40 ans de la marque.
Concernant les brasseurs, si Kronenbourg et Heineken ont créé l'événement quasi au même moment plus tôt cette année, les deux marques ont toutefois choisi des angles de communication différents pour valoriser efficacement leur implantation temporaire.
Du côté de Kronenbourg, l'Atelier des Brasseurs rue de Rivoli avait pour objectif principal de lancer une nouvelle référence dans la gamme : la Sélection des Brasseurs, une bière blonde "fraîche et savoureuse", imaginée sur l'observation qu’il y a bel et bien une place pour "une bière plus aromatique que la Kronenbourg classique, mais moins amère que la 1664".
Pour théâtraliser son lancement et communiquer auprès des consommateurs, Kronenbourg avait choisi d’investir en plein cœur de Paris un espace dédié à cette nouvelle référence, avec une scénographie faisant la belle part à la dimension humaine : ces hommes et ces femmes qui élaborent les différentes bières du brasseur alsacien, mis en avant via de grands portraits en noir et blanc. Une belle manière de donner un visage humain à la marque, dans la lignée de sa dernière campagne de communication.
Du côté de Heineken, l'Atelier des Champs sur les Champs Élysées proposait une série d’ateliers en comité restreint dans un lieu "éphémère et inattendu" à Paris : -"champs d’orge et de houblon en plein cœur de la capitale, tables en bois brut, murs végétaux [...], un jardin suspendu dans Paris" : la promesse était effectivement plutôt alléchante !
L'approche était plus poussée et les explications techniques, mais le concept demeurait très convivial pour ceux qui ont eu la chance d’y participer. Le lieu jouait à fond la carte de l'exclusivité : l'inscription préalable sur le site internet était obligatoire, le nombre de places limité et aucune signalétique n’indiquait l’accès à l’espace occupé par la marque, impossible donc pour les non-initiés d’entrer en contact avec l’univers de la marque par hasard, au gré d’une ballade sur les Champs.
Autre différence chez Heineken : le concept s’appuie au départ sur la notion d’éphémère avec l’Atelier des Champs mais l’expérience a pour vocation de durer : un jeu concours était organisé dans la foulée, permettant aux amateurs de voter sur un site web dédié pour leur bière préférée, qui a aboutit à l’élaboration d’une bière « dont le profil aromatique a été défini par le vote des internautes », lancée en édition limitée et présentée lors d’une soirée « Bière des Champs » organisée le mois dernier à Paris.
Pelforth, avec sa Table du Pélican, propose quant à elle au grand public de partager un repas en dégustation avec un verre de Pelforth pour un prix unique de 18€ : trois menus -une entrée légère, une carbonnade flamande au pain d’épices goûteuse et un dessert au spéculoos pour le premier des trois menus- et le choix entre l’une des trois couleurs de bière. L’attrait du concept ne réside pas tant dans sa dimension gastronomique que dans son côté sympathique et son accessibilité, tant au niveau budgétaire que dans la communication à destination du public, via une page Facebook pratique pour réserver ses places. Le renouvellement hebdomadaire du menu sur la période d’existence du restaurant permet aux consommateurs de réitérer l’expérience.
Concernant le vin, en France, les exemples tardent à apparaître. Prise de parole événementielle efficace, occasion unique de toucher de nouveaux publics et de présenter de nouveaux produits, bon moyen de tester de nouveaux marchés à moindre coût, dispositif adéquat pour instaurer une relation privilégiée entre la marque et ses consommateurs : certes, les contraintes d'une boutique éphémère sont plus importantes en France que dans d'autres pays quand il s'agit de marques d'alcool, mais à voir les possibilités offertes par ce type de manifestation et les avantages induits, impossible de ne pas se demander quels seront les premiers acteurs de la filière vinicole française qui à leur tour créeront l'événement autour de lieux éphémères pour partager leur univers de marque.
Rédigé à 14:16 dans Bière, Champagne, Cible "jeunes", Gourmandises, Inspirations, Lancement produits, Spiritueux, Tendances, Vin | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Lors du dernier salon Whisky Live à Paris, j'ai eu la chance d'être invitée par la Maison du Whisky à déguster le plus âgé et le plus rare des whiskies de la gamme Balblair : Balblair 1965. C'est en présence du Master Distiller John MacDonald et dans le cadre privilégié du restaurant Nomiya au Palais de Tokyo que j'ai découvert ce whisky rare -350 bouteilles ont été éditées et seuls quelques flacons sont encore disponibles. Au-delà de la qualité du produit, ce moment particulier me permet de confirmer qu'une dégustation est d'autant plus réussie lorsque tous les ingrédients sont réunis pour la transformer en véritable expérience : lieu magique, accord gastronomique et présence du Master Distiller pour renforcer le discours produit participent pleinement au rêve !
Au titre des whiskies parmi les plus rares -et les plus chers- mis sur le marché, le record revient depuis quelques jours à la distillerie The Dalmore, qui vient de finaliser la vente de deux flacons de ses whiskies collectors The Dalmore Trinitas pour la modique sommes de 100 000 livres Sterling chacune. Seules trois bouteilles de cette version très rare de The Dalmore Trinitas, âgé de 64 ans, sont mises en vente : les deux premières ont été achetées aux Etats-Unis par un amateur de whisky de luxe et au Royaume-Uni par un célèbre investisseur dans le whisky. La troisième bouteille sera commercialisée à Londres à la fin du mois d'octobre lors d’une vente exclusive au Salon du Whisky. Selon les experts cités par la marque, "si la bouteille était vendue au verre dans des restaurants et des clubs exclusifs, elle pourrait rapporter jusqu’à 20 000 Livres Sterling pour un petit verre typique de 5cl !"
La distillerie Aberlour a quant à elle choisi de rendre accessible la dégustation de son millésime 1967, issu du plus ancien fût de la distillerie, mis en bouteille à la force du fût -Cask Strength- et titrant à 47,9°: Aberlour le propose à la dégustation en introduction des dîners du Aberlour Hunting Club, restaurant éphémère qui ouvrira ses portes pour 5 soirs seulement, du 3 au 7 novembre 2010, en plein coeur de Paris -lire ma note Le ABERLOUR HUNTING CLUB restaurant éphémère, l'événement gastronomie de cet automne. Un Single Malt rare qui s'apprécie selon le véritable rituel de dégustation écossais : Aberlour 1967 est également proposé à la vente, en France seulement, dans un luxueux coffret créé en association avec la cristallerie Saint-Louis et et édité à 25 exemplaires. Dans ce coffret gibecière, le flacon est accompagné de 4 verres de la collection Excellence en cristal Saint-Louis, d'un plateau de service et d'un doseur en cristal spécifiquement développé par la cristallerie pour ce millésime, permettant l'ajout d'eau du Speyside dans l'exacte proportion, pour une dégustation optimale.
Enfin, pour ceux qui voudraient sortir des sentiers battus, je recommande la collection Closed Distilleries de Part des Anges : pour cette fin d'année, le distributeur de champagnes et spiritueux d'exception spécialisé dans la recherche de produits rares, parmi lesquels des whiskies issus de distilleries fermées, propose 5 nouveaux Single Malts écossais tous issus de fûts uniques, proposés en quantité limitée à 250 bouteilles. Parmi eux, un Caledonian de 1965. La mémoire retrouvée, pour le plaisir des plus fins connaisseurs !
Coffret gibecière Aberlour 1967, 25 coffrets disponibles à la vente, chez Lavinia et à La Maison du Whisky. Prix de vente conseillé : 9 000 € ; Balblair 1965 et collection Closed Distilleries de Part des Anges disponibles à La Maison du Whisky et sur www.whisky.fr
Rédigé à 15:10 dans Gourmandises, Lancement produits, Luxe, Patrimonial, Spiritueux, Tendances, Whisky | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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J'avais la chance de participer hier soir chez Fauchon à Paris
à une très belle dégustation de Belle Epoque 2002 et Belle Epoque Rosé
2002 autour de la Flower Table de Perrier-Jouët (sur la Flower Table, lire aussi ici, ici et ici) : des accords originaux et très réussis entre les deux cuvées de prestige, du cœur de filet de saumon mariné à la moutarde à
l’ancienne au cassis puis du crabe royal.
Fauchon et Perrier-Jouët : au-delà de l'association des saveurs, j'aime ces deux univers qui se rejoignent, dans un style pourtant différent. Perrier-Jouët, Maison de champagne qui a su au fil des ans se renouveler tout en restant fidèle à ses origines et à son patrimoine de marque, tout en élégance et en extravagance ; Fauchon, qui a puisé il y a quelques années dans ses fondamentaux historiques pour se réinventer, repensant totalement ses codes identitaires et (re)devenant ainsi l'une des références du luxe alimentaire.
Deux maisons de luxe qui se retrouvent indéniablement autour de leur savoir-faire respectif et de la qualité de leurs produits, tout en s'inscrivant parfaitement dans une vraie modernité. Pour le plaisir des sens !
Rédigé à 17:11 dans Cavistes, Champagne, Gourmandises | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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C'est une opération menée conjointement par la maison Bollinger et le pâtissier Hugo et Victor qui ne saurait mieux porter son nom : "rencontre magique au sommet du goût". Une association sympathique et gourmande entre l'excellente cuvée Bollinger Rosé et le pâtissier du boulevard Raspail à Paris : quatre variations autour de la fraise créées pour être dégustées avec la cuvée, à découvrir tout l'été chez Hugo & Victor.
L'opération me semble intéressante à plusieurs titres : d'une part, elle positionne la cuvée Bollinger Rosé dans un univers bien précis, celui de la pâtisserie créative. Ici, on ne parle ni d'association avec gastronomie au sens large, ni d'association avec les desserts de manière générale : avec Bollinger Rosé, la dégustation se passe de manière gourmande et créative.
D'autre part, l'opération est menée sur une durée suffisamment longue -depuis la fête des mères jusqu'à la fin de l'été- pour permettre à tout un chacun de venir la découvrir.
Enfin, cette "rencontre magique" n'est pas seulement une opération de relations publiques destinée à faire parler de la marque dans la presse, elle représente aussi une opportunité pour la maison de créer un lien avec ses consommateurs en allant à leur rencontre sur le lieu de consommation. Que ce soit la Maison Bollinger qui se prête à cet exercice tout en élégance et en féminité est plutôt une bonne surprise, a contrario de l'univers très masculin à la James Bond qu'elle évoque habituellement.
A découvrir chez Hugo & Victor - 40, Boulevard Raspail - Paris 7èmeRédigé à 14:22 dans Champagne, Gourmandises | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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J'avais présenté ici et ici la Flower Table de Perrier-Jouët. Si vous passez ces jours-ci par la place de la Madeleine à Paris, je vous invite à vous rendre chez Fauchon pour la découvrir. Et en attendant, voici l'expérience polysensorielle autour de la Flower Table racontée par le designer Noé Duchaufour-Lawrance, la Chef Anne-Sophie Pic et le Chef de Caves Hervé Deschamps.
Rédigé à 11:55 dans Cavistes, Champagne, Design, Gourmandises, Luxe | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Après ces blogs qui disparaissent -lire ma note ici-, je reprends ma petite analyse sur la blogosphère vin et me voici de retour avec une note qui parle de ces nouveaux blogs qui apparaissent.
Chaque mois, chaque semaine, chaque jour presque, enfin quand j'ai un peu de temps pour parcourir la blogosphère, je découvre de nouveaux blogs qui parlent de vin. C'est amusant comme le paysage blogosphérique en général mais aussi oenophile évolue vite. Et avec lui le style de ceux qui parlent de vin, de ceux qui le dégustent, de ceux qui l'aiment aussi.
En la matière, les femmes ne sont pas en reste, et encore moins les jeunes femmes. La bonne surprise, c'est que de plus en plus de jeunes femmes dynamiques et sympathiques se mettent à parler de vin, avec humour et décalage souvent. Des blogueuses qui font avancer la cause "vin" et qui prouvent à leurs lecteurs chaque jour qu'elles savent de quoi elles parlent, ça existe !
En l'occurrence, j'ai déjà parlé d'Aurélia, blogueuse québécoise de Bu sur le web -lire ici. Si vous n'avez pas encore vu ses vidéos pleines de fraicheur, c'est à découvrir ici. Parmi les autres représentantes de la gent féminine, je lis volontiers les aventures de Miss Vicky Wine et ses dégustations-découvertes inimitables, ou encore Wine in Paris, le blog de Paloma, qui a un style unique pour décrire ses soirées à la découverte du vin dans la capitale. Je citerais volontiers aussi la "nouvelle venue" Marion F. avec In Good Wine We Trust, "le blog vin décomplexé", et bien sûr Marie du Blog à Bulles, avec une approche "ma petite entreprise" que je suis avec plaisir.
Le développement du nombre de ces plumes féminines dans le monde du vin est bien sûr à corréler avec l'évolution des habitudes d'achat et de consommation. Les femmes achètent et consomment plus, avec une vision du vin bien particulière : elles choisissent le vin en fonction de leur goût personnel et sont surtout sensibles au prix, au packaging et à la simplicité d’usage (source Vitisphère). Deux chiffres révélateurs : 73% des femmes se disent néophytes en matière de vin (baromètre SOWINE/SSI 2010) mais si, en France, 70% des bouteilles de vin sont achetées en GMS, 80% de ces vins achetés en GMS le sont par des femmes...
Plus de femmes amatrices, plus de femmes productrices aussi, et plus de femmes qui parlent du vin : pas étonnant que la facilité d'usage du blog encourage les initiatives en la matière.
Au-delà du style unique et particulier que chacune des blogueuses citées a trouvé, la force de leur discours tient dans la qualité de leurs analyses mais aussi et surtout dans leur capacité à parler du vin en tant qu'amateur avant de revendiquer une quelconque spécificité liée au sexe, et à le faire avec cette touche féminine décalée qui fait toute la différence. J'adore.
Et vous, appréciez-vous aussi les plumes féminines en matière de vin ? Qui suivez vous dans ses aventure oenophiles, que ce soit en France ou ailleurs ?
Rédigé à 11:55 dans Ah les Femmes !, Cible "jeunes", Gourmandises, Inspirations, Tendances, Vin, Vin 2.0 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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La Maison Perrier-Jouët vient tout juste de dévoiler, en avant-première sur le salon international du design de Milan, la Flower Table, une table unique de dégustation de champagne spécialement créée par le designer français Noé Duchaufour-Lawrance.
Création inédite pour célébrer le printemps, la Flower Table évoque une fleur stylisée, en référence à l’anémone, emblème de la Maison. Un objet tout en fluidité qui donne naissance à un support de vasque accueillant le champagne, une invitation à la rencontre autour d’une expérience artistique de la dégustation. Pour apprécier pleinement la dégustation, quoi de plus approprié qu’une table à champagne ?
Au-delà de l'objet, que je trouve absolument sublime, c'est la cohérence dans le choix de l'artiste qui est particulièrement pertinente : chez Perrier-Jouët comme chez Noé Duchaufour-Lawrance, on retrouve cette sensibilité commune pour les formes organiques et végétales et cette même volonté de rendre hommage à la nature dans la création. Une philosophie mise en œuvre en son temps déjà par Emile Gallé, maître de l’Art Nouveau et créateur en 1902 du célèbre flacon Belle Époque. C’est après avoir découvert les collections Art Nouveau de la Maison Belle Epoque chez Perrier-Jouët à Epernay que le designer a imaginé cette œuvre originale.
Pour accompagner le travail de Noé Duchaufour-Lawrance et pour que l’expérience de dégustation sensorielle soit complète, Perrier-Jouët a proposé à la Chef étoilée Anne-Sophie Pic d’imaginer des créations culinaires à déguster avec les vins de la Maison, autour de la Flower Table. Le résultat met l'eau à la bouche : beignet au champignon de Paris, concombre mariné et huître, bille de foie gras et sudachi, bille de parmesan et poivre de Sichuan, guimauve à la noix, toast melba au lard de Colonnata et comté, macaron à la betterave, saumon vanille et pomme granny smith, : une série d’amuse-bouches variés, un véritable concentré d’émotions gustatives en parfait accord avec les collections Grand Brut et Belle Epoque.L'idée d'associer plusieurs talents créatifs pour proposer une dégustation polysensorielle est particulièrement pertinente : pour Hervé Deschamps, Chef de Cave de la Maison, « il est passionnant de voir à quel point l’association des trois dimensions œnologique, artistique et gastronomique, permet de révéler les caractéristiques de chacune des cuvées Perrier-Jouët, sublimant ainsi l’instant de dégustation ».
En allant puiser dans ses racines pour inscrire son patrimoine de marque dans la création de l'objet design et en transformant la dégustation de champagne en expérience polysensorielle unique, Perrier-Jouët crée du sens et fait définitivement la preuve de sa légitimité en matière de sens artistique. Je vous invite à ce titre à visiter la galerie d'art virtuelle de la Maison sur le site internet de la marque www.perrier-jouet.com pour découvrir les autres collaborations de la marque dans l'univers artistique.
Perrier-Jouët Flower Table by Noé Duchaufour-Lawrance éditée en série limitée de 25 tables pour le monde entier, signées par le designer français. Lancement le 15 avril 2010 sur le salon international du design de Milan, à découvrir ensuite dans les plus beaux établissements du monde grâce au « Flower Table Tour » et dans la galerie d’art virtuelle de la Maison sur www.perrier-jouet.com.Rédigé à 16:13 dans Art, Branding, Champagne, Design, Gourmandises, Inspirations, Luxe, Marketing, Patrimonial, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Je découvre en lisant le numéro d'avril de La Revue du Vin de France que la Maison de Champagne Selosse vient d'acquérir le château Bricout à Avize avec pour intention d'y "ouvrir une demi douzaine de chambres et une table d'hôtes d'une vingtaine de couverts". Visiblement, l'objectif qualitatif est ambitieux, et l'ouverture prévue en octobre.
Personnellement, l'initiative me ravit : je me suis toujours étonnée que les vignobles français ne proposent pas plus souvent, comme le font pourtant avec succès d'autres vignobles étrangers, une véritable offre gastronomique sur les domaines. Que ce soit en Californie, en Australie, en Nouvelle-Zélande ou ailleurs, quel plaisir pour l'oenotouriste d'avoir sur la plupart des domaines la possibilité de se restaurer, avec des offres d'excellente qualité !
Lors de mes pérégrinations dans les vignobles du monde, j'ai souvent profité de ces restaurants avec vue sur une mer de vignes qui me permettaient de découvrir les vins du domaine dans un cadre extrêmement agréable et autour d'une excellente cuisine : un bon moyen pour le domaine de créer des souvenirs chez le visiteur et de le fidéliser.
La Champagne me semble être une région particulièrement propice à l'implantation de ce type d'offre : nombreux sont les visiteurs qui viennent y passer quelques jours spécifiquement pour le tourisme du vin, avec visite de différents domaines, achat de champagne et envie de découvrir les produits de la région. La région est belle, et nombreux sont les lieux qui offrent un bucolique point de vue sur les vignes. Qui plus est, la plupart des moyennes et grandes Maisons ont, dans le vignoble, un lieu, des installation et des équipes (Chef compris) qui leur permettent déjà d'organiser des déjeuners privés.
Malgré les contraintes, je reste persuadée que l'ouverture de ce type de table est un véritable atout pour les maisons, qui peuvent ainsi offrir aux visiteurs une alternative gastronomique de qualité en plein cœur du vignoble. Un moyen privilégié de vivre autrement l'expérience du champagne.
Rédigé à 12:18 dans Champagne, Gourmandises, Luxe, Oenotourisme | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Belle reconnaissance pour la Maison Le Paulmier, client de l'agence, récompensée lundi 21 septembre par un Coq d’Or du Guide des Gourmands pour son jus de pommes bio pétillant sans alcool Bon Pommillon, que je vous avais présenté ici.
Les Coqs d’Or du Guide des Gourmands, remis dans les salons de l’hôtel Bristol à Paris, récompensent chaque année les meilleurs produits d’artisans respectueux du goût et des terroirs. Bon Pommillon a séduit le jury qui distingue ainsi une boisson artisanale et festive, rafraîchissante et acidulée, élaborée dans le respect du fruit et de la biodiversité du verger.
Au-delà de Bon Pommillon, la Maison Le Paulmier propose une gamme de produits innovants et savoureux, élaborés à partir des fruits du verger et travaillés selon les méthodes traditionnelles, que je vous invite à découvrir sur le site www.le-paulmier.com. Benoit Simottel, artisan fondateur de la Maison Le Paulmier, puise son inspiration chez le Maître Julien Le Paulmier, auteur du «Premier Traité du Sidre» publié en 1588.
Retrouvez également les produits de la Maison Le Paulmier sur le Salon des Coqs d’Or du Guide des Gourmands les 28 et 29 novembre 2009 - Hôtel Pullman Paris Rive Gauche, 8-12 rue Louis Armand, Paris 15.
Rédigé à 09:33 dans Actualités SOWINE, Gourmandises, Lancement produits, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Un peu de poésie gustative...
"Ce matin j'ai vu une pomme
Assoupie sous une libellule
Drôle d'endroit pour faire la bulle !
En équilibre sur la branche
Elle jouait les funambules
Dorée par le soleil
Drapée dans son sommeil
Elle attendait, souriant au vent
L'éternel recommencement"
Une fois n'est pas coutume sur ce blog, c'est un bien joli produit sans alcool que je présente aujourd'hui. Bon Pommillon, créé par la maison Le Paulmier, artisan normand de la pomme, est le premier jus de pommes bio pétillant sans alcool haut de gamme : une boisson naturelle biofestive issue de l'assemblage de trois variétés de pommes aromatiques, sans sucres ajoutés.
Je trouve l'idée de la maison Le Paulmier particulièrement séduisante :
Bon Pommillon est aussi la preuve que la place des petits producteurs indépendants dans l'univers très marketé du food et du drink a encore de beaux jours devant elle, à instar d'un Michel & Augustin, pour ne citer qu'eux. Preuve en est le succès de référencement de Bon Pommillon, vendu par les meilleures épiceries et lieux de consommation à Paris et ailleurs, dont Colette -voir la liste des points de vente ci-dessous.
Je suis impatiente de goûter les autres produits des collections Le Paulmier, à suivre donc. En attendant, je ne saurais trop vous recommander de tester Bon Pommillon. Bonne dégustation !
Rendez-vous avec Bon Pommillon :
COLETTE - 213 rue Saint Honoré - Paris 1
Bread & Roses - 17 rue de Fleurus - Paris 6
Épicerie des Saints Pères - 23 rue des Saints Pères - Paris 6
Épicerie Fine Rive Gauche - 8 rue du Champ de Mars - Paris 7
Maison Carton - 150 avenue Victor Hugo - Paris 16
Bio Prestige - 92 rue des Batignolles - Paris 17
Rédigé à 12:18 dans Actualités SOWINE, Cible "jeunes", Gourmandises, Lancement produits, Tendances | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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La Maison G.H. Mumm vient de lancer son programme "Menus de Légende", sur une idée de SOWINE : un voyage gastronomique contemporain autour de la cuvée de prestige R. Lalou.
En proposant à 12 grands Chefs de réinterpréter des menus ayant marqué l'histoire de la table et auxquels la Maison a été associée par le passé, Mumm rend hommage au talent des Chefs d'hier et d'aujourd'hui et préempte la place de "champagne de la gastronomie" pour sa cuvée de prestige R.Lalou, qui accompagne chacun des menus.
Le principe est simple : 12 Chefs réinterprètent 12 menus de légende inscrits dans le patrimoine historique de la maison rémoise, en les réinventant à la lumière de leur vision contemporaine et de leur sens créatif. 12 chefs et 12 menus en écho aux 12 parcelles en Grands Crus dont sont issus les raisins qui peuvent entrer dans l'élaboration de la cuvée de prestige -voir aussi la forme dodécagonale de l'étiquette.
L'intérêt de l'opération réside également dans sa dimension créative : les chefs ont toute latitude pour réinterpréter des plats aux noms magiques et mystérieux comme les "Zéphirs d'Ortolans à la Lucullus" figurant au menu "Buckigham Palace" du Derby Day de 1904 ou relever le challenge d'ingrédients oubliés comme le "salicorne" dégusté en "salade au Raifort" dans le menu "Waldorf Astoria".
Personnellement, la mise en oeuvre me donne l'eau à la bouche et je suis impatiente d'aller découvrir ces Menus de Légende chez l'un ou l'autre des Chefs sélectionnés, en comptant sur cette opération pour être renouvelée chaque année un peu à la manière de la "Semaine du Goût" : un moyen original de (re)découvrir la cuisine de grands Chefs et de multiplier les plaisirs de la table.
Rédigé à 10:52 dans Actualités SOWINE, Champagne, Gourmandises, Luxe, Patrimonial | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Belle dégustation lors d'une récente visite dans le sud-ouest de la France où Patrick, propriétaire de la Ferme des Bouriettes et de la boutique restaurant Au Hasard Balthazar à Martel, m'a fait découvrir trois cuvées de l'AOC Cahors Clos Troteligotte : La Fourmi, La Perdrix et surtout K Lys. Au passage, je recommande vivement les produits de la Ferme des Bouriettes, le genre d'adresse dont on ne peut plus se passer une fois qu'on y a goûté. Et si vous n'avez pas prévu de passer dans le Lot d'ici noël, vous pouvez commander leurs produits exceptionnels via leur site lesbouriettes.com.
La qualité des vins Clos Troteligotte se marie superbement avec les plats de Patrick -aussi bien le civet de canard aux olives que les cailles farcies au foie gras, la févoulade ou magrets de canard. Très agréable surprise aussi quant à la créativité marketing du domaine, traduite d'abord dans son packaging : des étiquettes qui allient avec bonheur l'élégance et la poésie, via leur graphisme et le choix des mots et textes apposés sur l'étiquette et la contre-étiquette. Une approche originale plutôt inattendue -même si l'AOC Cahors sait faire preuve de son dynamisme, comme en témoignent les sites blackisphere et french-malbec.com. Dommage que le site internet de Clos Troteligotte ne soit, à ce jour, pas tout à fait de la même facture que le packaging de ses bouteilles.
J'aime vraiment ce type de produit : en tenant ces flacons dans ses mains et en dégustant les vins, pas de doute, on sent le dynamisme et la passion des vignerons. C'est superbe, créatif et réussi et ça donne envie d'aller plus loin dans la dégustation des cuvées du domaine.
Rédigé à 13:54 dans Gourmandises, Inspirations, Packaging, Vin | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Le coffret cadeau découverte, dix vins en tubes de 10 cl : 69.00 € TTC, frais de port inclus
L'abonnement annuel, 6 coffrets de 3 vins en tubes à 129 € TTC, offre spéciale de lancement à 99 € TTC
Les deux offres sont disponibles sur www.vinotinto.fr
Rédigé à 08:33 dans Actualités SOWINE, Cible "jeunes", Gourmandises, Inspirations, Lancement produits, Packaging, Tendances, Vin | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Evénement organisé par SOWINE à Paris la semaine dernière : une présentation décalée des primeurs bordelais.
L'idée : alors que les vins de la région de Bordeaux sont, comme chaque année, présentés dans leur région d'origine, en primeur, durant la première semaine d'avril, nous avons été mandatés pour organiser une présentation de ces primeurs en avant-première à Paris, destinée aux professionnels.
Les vins : vingt vignerons du bordelais et d'ailleurs, qui dévoilent leurs cuvées 2007 dans un lieu décalé. La troupe des vignerons voyageurs, emmenée par Olivier Dauga, a débullé à Paris et posé ses fûts le temps d'une soirée, invitant journalistes et acheteurs à porter un regard différent sur le vin et à vivre un retour au plaisir simple de la dégustation, avec autant de styles que de vignerons présents.
Le lieu : les Voûtes, bulle de sérénité au cœur du quartier Bibliothèque François Mitterand, en pleine reconstruction, dominé par le bâtiment attenant Les Frigos -anciens entrepôts frigorifiques de la ville de Paris occupés aujourd'hui par 300 artistes en résidence. Un lieu décalé en soi, et unique pour une dégustation de vin.
Le concept : inviter les participants à "entrer dans la bulle" et à vivre une expérience décalée, tant en termes de lieu que de dégustation et de découverte gastronomique. Menée par l'équipe du Transversal, l'expérience culinaire a donné l'occasion aux invités de tester l'association de saveurs originales associées et leur mariage sur les différents vins. Ou comment sortir des codes habituels de la dégustation, en proposant des bouchées réfléchies sur le thème de la bulle.
Je vous invite aussi à découvrir le site internet développé pour l'occasion www.vigneronsvoyageurs.com.
Rédigé à 12:41 dans Actualités SOWINE, Cavistes, Gourmandises, Inspirations, Vin | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Modern Spirits, spécialiste de la vodka aux arômes recherchés, dont je vous parlais dans mes notes précédentes ici et ici, vient de lancer une nouvelle saveur : la vodka aromatisée aux pétales de roses. Cette saveur de saison voit le jour juste avant la Saint Valentin, tout comme la précédente, purée de potiron, lancée juste avant Halloween.
Je continue à aimer cette approche différenciante et la proposition consistant à créer de nouvelles saveurs originales et qualitatives pour donner le goût au consommateur de revenir vers le produit. Hors du domaine des alcools, le succès d'autres acteurs du secteur food et gastronomie, qui créent la curiosité avec la sortie régulière de nouveaux produits, prouve que le consommateur sait être réceptif à ce type de stratégie marketing. Le meilleur exemple est sans doute la maison Ladurée, avec ses macarons aux saveurs surprenantes -avez-vous déjà goûté le macaron au poivre ?
J'en profite pour rebondir sur Ladurée et le service de livraison personnalisée que la Maison de la rue Royale vient de mettre en place, proposant de livrer ses macarons (sur Paris) via son service "Gants blancs". Pour avoir testé, je confirme que le service est à la hauteur de la promesse, gants blancs du livreur compris. Le prix peut paraître élevé (20 euros la livraison dans les deux heures) mais c'est un moyen intelligent, pour une maison de luxe, de se différencier, d'acquérir de nouveaux consommateurs et de fidéliser ses consommateurs existants. Des consommateurs premium pour qui le plaisir consiste avant tout à offrir ou s'offrir la douceur et le service qui lui correspond, peu importe le prix.
Rédigé à 15:56 dans Gourmandises, Marketing, Spiritueux, Vodka | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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C'est aujourd'hui que débute la 8e semaine du Fooding : une série d'événements tous plus innovants les uns que les autres pour créer de l'émotion autour de la gastronomie. Fooding, ou la contraction de [Food] et [Feeling]...
Le Fooding, c'est ce mouvement inventé par Alexandre Cammas et Emmanuel Rubin qui, pour reprendre le chapô de l'article qui lui est consacré dans Le Figaro et Vous du week-end dernier (à lire absolument, c'est en ligne ici), "a apporté de l'humour [et] du glamour en cuisine".
Tout au long de l'année, le bureau du Fooding organise des événements avec pour objectif de désacraliser et de décomplexer la cuisine tout en se faisant plaisir... une approche créative pleine d'humour et qui a le mérite de bousculer les idées reçues - bref, tout ce que j'aime.
Les différents événements mis en place cette semaine sont à découvrir sur le site lefooding.com, dont La Winery, une roulotte "mooving-room" qui accueille les amateurs (s'inscrire sur le site) tous les soirs de cette semaine à Paris pour leur faire découvrir des associations mets-vins-eau et surtout, leur signe oenologique... tout un programme.
Il y a de quoi s'occuper cette semaine, mais aussi tout au long de l'année : pour cela, se procurer le Guide du Fooding qui vient de sortir et consulter régulièrement le site internet : perso, il n'y a pas un restaurant en France où je me rende sans avoir vérifié auparavant si l'équipe du bureau du Fooding l'a testé et apprécié... et je n'ai jusque là eu que d'excellentes surprises !
Rédigé à 10:15 dans Gourmandises, Inspirations, Tendances, Vin | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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J'évoquais récemment (ici) l'exposition d'art contemporain organisée au sein des caves Pommery à Reims, intitulée "L'Emprise du Lieu", et dont le commissaire n'est autre que Daniel Buren. L'exposition se termine dans deux jours (le 1er novembre) et si vous avez l'occasion de passer à Reims, je recommande vivement sa visite, une superbe incursion de l'Art dans l'univers du champagne.
J'ai particulièrement aimé les oeuvres de Mathieu Mercier -Homonculus sensitif 2007-, de Mona Hatoum -Web 2006-, de Tadashi Kawamata -Cathédrale de chaises 2007- et de Subodh Gupta -Bandhargar 2007-, et j'ai trouvé marquant le dérangement provoqué par la création de Kader Attia -Emptiness/fullness (Ghost) 2007.
Si vous passez quelques jours en Champagne, profitez de l'occasion pour dîner au château des Crayères, juste à côté du domaine Pommery - la cuisine de Didier Elena m'a permis de vivre l'une de mes plus agréables expériences culinaires. Un véritable enchantement.
Photos SD - Droits réservés
Rédigé à 09:07 dans Art, Champagne, Gourmandises, Inspirations, Oenotourisme | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Une idée qui n'est pas nouvelle mais qui à mon avis devrait faire des petits : connaissez-vous le sorbet au vin ? Lancé en 2006 aux Etats-Unis, à NYC plus précisément, le concept de Wine Cellar Sorbets associe deux gourmandises pour en faire un produit original : des sorbets au vin. Une idée simple, non ?
C'est un "Sorbet Sommelier" qui sélectionne les vins entrant dans la composition de ces desserts particuliers -qui peuvent aussi se déguster en lieu et place du "trou normand" au cours d'un repas. Six "cuvées" sont disponibles : champagne , riesling, pinot noir, rosé, cabernet sauvignon et sangria rojo, toutes proposées dans un packaging sympathique et chic.
Le sorbet est alcoolisé -5%- donc interdit à la consommation aux mineurs, mais l'astuce, c'est qu'il entre également dans la catégorie des sucreries, donc est référencé dans les épiceries fines et autres lieux qui ne vendent pas forcément d'alcool. Malin ! Les Wine Cellar Sorbets s'achetent aussi en ligne, sur le site de la société, à un peu plus de 12$ le pot de 473 ml.
Reste la question du goût et du rapport qualité/prix du produit : nos deux correspondants à NYC ont testé hier soir -7,95$ le pot acheté dans un supermarché de luxe de Tribeca-, et les avis sont partagés : goût et consistance d'une glace à l'eau et au champagne pour la version "champagne", et peu de succès pour les versions rosé et rouge.
A condition que la qualité soit au rendez-vous pour provoquer le réachat et fidéliser les clients, cette approche disruptive autour du vin me plaît bien, et je serais curieuse de découvrir d'autres gourmandises ou sucreries à base de vin. Pourquoi pas du chocolat, pour commencer ?
Rédigé à 08:32 dans Gourmandises, Inspirations, Marketing, Vin | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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Une approche que je trouve particulièrement intéressante (et que j'apprécie vraiment) dans certains grands restaurants : lorsque le sommelier propose un menu dégustation de vins en parallèle du menu dégustation des plats. Des vins servis au verre, spécifiquement sélectionnés par le sommelier pour se marier idéalement avec chacun des mets créés par le Chef : cela permet de profiter pleinement du repas, et évite de devoir commander une bouteille unique pour l'ensemble du dîner -surtout quand on est deux.
La formule est proposée dans quelques très grands restaurants autour du monde -parmi ceux-ci, je vous conseille très vivement Tetsuya's à Sydney, Charlie Trotter's à Chicago, mais aussi Senderens à Paris.
Le coût du menu dégustation de vin est bien sûr en supplément, sans aucun regret jusqu'à aujourd'hui pour ma part. Il est d'ailleurs amusant de constater que le prix ne semble pas, dans ce cas, être un facteur agravant : selon Charlie Trotter, le nombre de ses convives qui choisissent cette option a augmenté de 10% depuis qu'il a agrémenté sa carte d'un deuxième menu dégustation vin "prestige", à 225 US$ (contre 100 US$ pour le premier). 30% des clients optaient pour la formule quand il n'y avait qu'un choix, ils sont 40% aujourd'hui, et la répartition est de 50/50...
Prochaine étape : je serais curieuse qu'on me propose un jour un menu gastronomique associant avec succès différents plats et différents alcools, champagne et vin mais aussi saké, bière ou whisky par exemple -en mode dégustation et petites quantités, bien sûr !
Rédigé à 09:56 dans Gourmandises, Tendances, Vin | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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De passage à Amsterdam ce week-end, j'ai repéré une idée intéressante à la Brasserie Harkema (ancienne manufacture de tabac) : un tableau matriciel à la fin de la carte des vins avec un principe de notation qui indique comment chaque vin proposé s'accorde avec les mets du menu (3 = très bien, 2 = bien, 1 = OK, 0 = pas indiqué).
Une bonne idée pour simplifier le choix du client ou lui permettre de vérifier que son premier choix colle bien avec le plat choisi. A condition bien sûr d'avoir une liste de vins resserrée...
A noter aussi, une belle déco de bouteilles encastrées dans une bibliothèque de briques noires surplombant la cuisine apparente.
Rédigé à 23:38 dans Gourmandises, Vin | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
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