En Grande-Bretagne, l'enseigne Tesco est en train de tester chez ses clients un concept fondé sur un ordinateur destiné à la cuisine, directement relié au site internet Tesco.com, qui se veut à la fois un portail marchand et la nouvelle porte du réfrigérateur, devenue interactive.
Le client peut y noter ses recettes, y tenir son agenda, gérer rapidement au quotidien sa liste de courses et ses horaires de livraison, faisant ainsi ses achats plus souvent.
Il peut également « épingler » des photos digitales et des messages sur l'écran et mettre en place des liens directs avec ses amis de Facebook.
Par ailleurs, Tesco propose de créer une communauté autour de son API en permettant aux développeurs et aux marques de réfléchir à de nouvelles applications qui pourraient venir étayer l'usage de ce nouvel ordinateur : on imagine ainsi la proposition de recettes dont les ingrédients seraient automatiquement ajoutés à la liste de courses, des jeux concours...
La fin du test est prévue en mars 2009. Dans le même ordre d'idées, certaines enseignes américaines (ShopRite et Meijer) proposent des widgets que les internautes installent sur leur page d'accueil. Selon les cas, ils recevront les prospectus hebdomadaires de l'enseigne, pourront gérer leur liste de courses, consulter et échanger des recettes, recevoir des coupons de marques nationales, des conseils.
Je m'interroge sur une cave à vin intelligente qui saurait, reliée au réfrigérateur, commander les vins en association avec les mets réfrigérés, qui pourrait, une fois paramétrée, s'assurer qu'il y a toujours du champagne au frais [notamment pour les anniversaires], qui serait force de proposition dans le choix des vins à déguster. Une idée à suivre... ou à anticiper ?
Source : Les Minutes Marketing
Après tout c'est vrai que faire d'un caviste, d'un sommelier..?? Un humain subjectif, faillible, quelle horreur !!
Trêve d'ironie facile, je m'en voudrais de provoquer le génie marketing à l'oeuvre sur ce blog..
La GD innove et c'est bien, c'est son rôle. N'oublions pas néanmoins les rapports humains souvent chaleureux, générés par les discussions autour du choix d'un vin entre un client et son caviste/sommelier et même les dégustations réelles ! Même pas virtuelles car enfin pour citer Desproges : ne refuser pas à votre bouche ce que nous octroyez à vos fesses : l'essayage !
Essayer un Bourgogne de A Bichot ou un pinot noir de l'Oregon de Drouhin ( entre 10/15€ et 30€, marketing + ou - actualisé par les cuistres du moyen-disant culturel à l'oeuvre dans les agences de com)
et mettez les en face d'une Digoine d'Aubert de Villaine ou un Rully VV du domaine de Dureuil
dans le même créneau de prix
Y aura pas photo
A +
yannick
Rédigé par : yannick | 26 novembre 2008 à 18:07